lundi 27 décembre 2010

Du côté nu

tu fais couler le bleu

de l'ombre de la mer
tu distilles
le coeur

du côté nu du jour
les chevaux sont de cire
jusqu'à l'heure où tu passes sous la lune

(quand l'âme brûle
je préfère les secrets muets
aux murmures des racines)

1 commentaires:

Anonymous Anonyme a dit...

( ... )

27 décembre 2010 à 14 h 44  

Publier un commentaire

S'abonner à Publier des commentaires [Atom]

<< Accueil